Gary Cooper ne lisait pas de livres

Dans Gary Cooper ne lisait pas de livres, la mémoire du cinéphile ressemble à une régie abandonnée, puis retrouvée après coupes et remontages subjectifs de plans séquences. Issues d’un casting poétique, ces représentations agissent dans une région inconnue du cerveau.

L’enchantement de l’autodidacte face au petit écran  (Cinéma de minuit), s’expose dans l’alchimie nébuleuse du noir et blanc, la fascination pour les stars, « ces êtres insituables, désirés, emmêlés dans les fictions qu’ils véhiculent » (Renaud Ego, La pensée de midi, 2009). 

%d blogueurs aiment cette page :